1 juin 2010
Entre l'ouragan et la brise
Violence et fracas
La tempête se déchaîne
Et délie les éléments
Faisant fi de toute création
Ballotté par ce vent l'homme
Contemple ses ouvrages
"Vanité des vanités"
La nature révèle
Que la vie n'est qu'une bougie de poussière
Le cyclone ainsi passé
La souffrance se réveille
Et interpelle de son cri
"L'Éternel a donné, l'Éternel a repris"
Cette respiration de l'existence
Fonde la plainte dans la flamme
Il ne reste qu'à un rayon divin
Porté par un souffle d'amour
De venir éveiller la mèche
Et qu'à nouveau la lumière
Balaye notre obscurité
Texte et Image : guilloud
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